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Le Souffle Continue (2014)

by Lou Fabien & Cie

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1.
Adiou 02:10
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3.
Lou Fabien 04:28
Lou Fabien ( Deyts Fabien) C’est c’est c’est … Lou Fabien, ménestrel de campagne, je parcours mon sol landais, le soleil m’accompagne. Sabots aux pieds, j’arpente décidé mon dessein car j’ai la rage à outrage. Avec mon Orchestre sympathique dirigé à l’Aghulade magique, j’escalade ce mur de son, lamenter dénoncer les mensonges qui nous dévient de la vie et réveiller l’humain juste comme ça, à tout vent, que ça l’inspire, sans vis-à-vis. Une pigne m’est tombée sur la tête, j’ai dû attraper une diarrhée verbale, du genre qui râle, qui rouspète. Adare, m’éfiat dou capet … Désolé de vomir dans vos oreilles mais je suis du côté de « Miss Terre », j’ai fait mes études à l’école de la vie, l’extraordinaire. Je ne suis pas une Sourigues ni une Minvielle à roue, mais je conjugue mes vers au presque parfait…sur une touche manouche à pattes de mouche. Je pense donc je gêne, je chante donc je suis, je disserte pour agir, je déserte des filets car je suis du côté de la dignité. Apprenti du bic, je jette à présent mon encre, crache mes larves de honte qui hantent même un rêveur éveillé dans l’attente, mais je tente. Refrain : Créateurs contre créature, Taïfa contre Mafia. Je continue avec mon polochon de mots et de notes d’accords (?), car il y a de la beauté dans les âmes et de l’or dans le folklore. Associé aux antidotes de cocotte, je braque les projecteurs sur le monde des taupes en couche-culotte qui s’grignotent et j’annote. J’encroise mes mots, je jongle des vices, je détruis des mines, crame des cierges, je suis un merle enchanté avec mon ordi de barbarie. Je révolutionne en chanson, protéger mon mental et mon environnemental navigant entre Midouze et cap de l’homy… Je ne voudrais pas être accusé par des enfants, eux racines d’un havre de paix et source de bonhomie. Mon petit doigt m’a dit que c’était le moment de voir plus loin que le bout de son curriculum vitae, j’en ai ma claque, plein la langue et plein le do de devoir militer. Je trompette les plombs à regarder cette secte au drapeau tricolore. Débattons de guignol peu importe, « moins on en parle, mieux on se sporte. » Fier comme d’Artagnan, sous le même béret qu’el ché, je rentre dans l’arène en tenue de lumière, écarter les programmes d’autodestruction pulmonaires. Refrain : Créateurs contre créature, Taïfa contre Mafia. Lou Fabien sans système… Je repars surveiller la survie des étoiles du haut de mon observatoire de cristal, je mets les voiles. J’réveille mon univers imaginaire, bienvenue dans ma boîte à merveilles négligeant le malheur pour ne voir que les arbres sans leurs pleurs. Je ne fais pas dans la barbe à papa, je suis plutôt charmeur de bonheur céleste pour l’esprit universel, j’atteste. Ici, je trompette en père peinard et cœur vaillant, mettre en vigueur mon plan de paix car il n’est jamais trop tard. Pas le temps de montrer mes maracas pour être « number one » au « hot parade » de l’Art « niak », je suis souffleur de vers champêtres sur mon terrain de jeux paradisiaque. Je chante comme un turlupin au milieu des pins sans vouloir gagner mon pain, mon verbe veut s’aventurer dans la justesse de mes refrains. Faut dire que ça commence à ne plus faire rire les abeilles…non ? En avant la belle histoire, j’ai choisi mon décor telle une coccinelle choisissant sa fleur. Amasse que gagneram toustem. Lou Fabien range la terre comme le lui a dit la mère des mères, Susurrer un peu de vent pour assurer ses arrières.
4.
Le bal des sourires ( Deyts Fabien ) Approchez approchez, c’est le bal des sourires, Pas d’vampire pire qu’un vent Au pire, laissons dire mais dansons maintenant. Trop d’la balle, c’est le bal qui m’emballe. C’est le Graal, oh yeah. Amassons, échangeons les sourires. Pas d’vampire pire qu’un vent Au pire, laissons dire mais dansons maintenant. Au bal des sourires, je retourne en enfance. Mes souliers entrent en transe et dansent dans les pieds de celle-ci Qui sourit en silence de ma révérence cloche-pied. C’est la ker-messe des grands gojats, tournant vers les cieux là où les oiseaux chantent à tue-tête. Amassons, échangeons les sourires pendant qu’ils empilent leurs légos d’or ‘ rénavant, Tournons, valsons dans la lumière au risque de s’y brûler de dons… Amassons, échangeons les sourires. Pas d’vampire pire qu’un vent Au pire, laissons dire mais dansons maintenant. Trop d’la balle, c’est le bal qui m’emballe. C’est le Graal, oh yeah.
5.
Bimbamboum 04:58
Bimbamboum ( Deyts Fabien ) C’est à l’art de triompher, face aux chants de l’Élysée L’heure du bilan a sonné, ça déborde, mon crayon manifeste dérape, paniqué de ces faits. Je t’explique le topo, pot-pourri ricochant partisan pour déverrouiller nos pensées emprisonnées. On nous fait vraiment gober n’importe quoi et nous pauvres naïfs à tout ça, on y croit. On est vraiment que des gros cons cons cons cons cons consommateurs. Tout est prétexte à dépenser, leurs prêts à jeter mais faut bouffer, de la merde dans nos assiettes et bien chère, pour mieux nous contrôler et digérer au paradise. Boulot, mal au dos, impôts, c’est la fête à ma planète, à ma tête aux intérêts enterrés. L’or et l’art de manipuler,on se fait braquer nos bulletins de paix pour de la propriété privée. Collectionnade de bonnets d’âne, l’on marche cette aubade incapable de discerner la libertad. Retour au trad’… Refrain : C’est le baba, c’est le baba, c’est le baba, c’est le bim bam boum Badaboum big bang boum ban bang, Je pousse le slam, vague à l’âme sur dame macadam Mon warning Band lève le ban avant le bim bam « boum ». Ami, entends-tu le vol noir des corbeaux sur nos plaines et les cris sourds du pays qu'on enchaîne? Oué oué oué J’te dit que ça sent mauvais, une sorte de rapace dans une volière sur civière imaginaire. Engendrer la peur, diviser pour mieux régner, stratégie de la diversion pour détourner l’attention. ` Ils sont forts pour faire passer du poison sous nos ponts mais leur connerie pyramidale nuit à notre survie, non ? Refrain : Dégustation, protestation… C’est l’heure du procès-verbal Je porte plainte pour coups et blessures Je souffle mon anthem pour libérer mon délire onirique J’accuse la publicité qui décapite nos idées rêvées. J’accuse les infos nous éloignant des connaissances essentielles. J’accuse les billets, le nouveau désordre mondial. J’accuse Aliénor d’avoir construit sur ma route imaginaire. J’accuse le mensonge dans les cahiers d’histoire là ou les rêves s’écorchent sur des barbelés. J’accuse les erreurs judiciaires, les horreurs hospitalières et leurs perfusions empoisonnées. J’accuse les mensonges sur le nucléaire, les OGM et le mode de vie cancérigène. J’accuse Barbie, son modèle postérieur fait fureur. J’accuse les jeux olympiques, les banques et les politiques qui s’en donnent à cœur de piques. J’accuse le gaspillage des mégas super marchés, J’accuse le nettoyage javellisé J’accuse le tour-shoot de France, les exterminateurs d’espèces pour satisfactions personnelles ou monétaires ; J’accuse l’eau potable dans nos chiottes et l’eau de chiottes dans nos gobelets, les lampadaires n’éclairant que des parterres, Je grimace face à la caméra cachée. Liberté surveillée, l’homme est comme une plaie pour sa propre humanité. J’accuse leurs soi disant sécurité routière. Ouvre du bonheur avec caca Cola, gobe le bonheur prédéfini de leur aristocratie. J’accuse l’armée de faire la guerre. J’accuse… Dégustation, protestation… Comme un cartoon pour les pitchouns, un kidnapping pour les bling blings . Le mot râle la morale sur un poum poum poum poum poum tching. N’attends pas que l’homme te parle du ciel pour lever la tête. Laisse les jouer aux pirates et s’enterrer avec leur tablette de branlette. Rendez vous avec la vie, une vie grandeur nature… Ton chemin ne dépend que de tes pensées plutôt que de dépenser pour avancer…
6.
Per Noste 04:00
Per Noste Comme une étincelle made in made in XL, je ressors mes bretelles et voyelles occidentelles . J’appelle l’aquarelle passerelle universelle, XL modèle fidèle aux dentelles immortelles. Comme une étincelle made in made in XL, j’arpente Compostelle sentinelle spirituelle. J’active ma ritournelle, ma manivelle et ma chandelle telle une sauterelle face aux réelles quenelles qui m’ensorcellent. Comme une étincelle made in made in XL, je ressors mes bretelles et voyelles occidentelles. J’appelle l’aquarelle passerelle universelle, XL modèle fidèle aux dentelles immortelles.
7.
Made in XL 03:54
Made in XL (Deyts Fabien ) Enfant du pin, né sous XL dans un pot de résiniers made in XL. Je t’invite dans ma lande wonder-landes, mon berceau matricule 40 aux parfums de bruyères et lavandes. J’habite le sud-ouest de l’hexagone, une grande pépinière où les vieux roulent encore des« r» à la tonne de Gascogne. Ères de bonne humeur, itinéraire conseillé et prometteur, je t’expliquerai ça tout à l’heure. J’ai décidé de faire escale au port du béret acteur Sortie 3, porte d’armagnac de l’A65, ne sois pas surpris du prix de l’autoroute, ici on est mode XL. Démarre ton moteur, suis ma roulotte de Moé de sons qui ruissellent, si le chevalier festivalier ne te fait pas peur. Détache, relâche ta ceinture, «welcome into the Moun » Refrain : Viens voir ma terre, mère nourricière Qui tend ses ailes façon XL Viens voir ma terre, ma partenaire Allez prends, juste une cuillère, ça va te plaire Gouttes à ses ailes, made in XL. Terre d’accueil, de contes mystérieux, de gnole et de fleur de Lysée… Ma langue est millénaire, parlée par un Duc au cœur de Lion et Henri Fort… décédé. D’Artagnan a porté mon accent, j’illumine à présent la mémoire de ma terre d’antan. Arnaudin en a recueilli des bouquets, l’aficio Nadau lui, continue à chanter la croix St-André pendant que Maïté nous prépare une assiette Landaise et une Madeleine bien ferme made in XL. Tu y croiseras aussi des hommes aux boléros, les rois de l’arène ont rendez-vous avec des yeux noirs sur un son de Cazérienne. Bam bede aco la course de baques, un art maniaque vieilli au fût de chêne. Tu vois qu’on y est bien dans ma planque, ma talenquaire …allez hop on enchaîne. Refrain : Allons faire le tour des landes en 80 vers, ragoter comme des tchancayres car il est bon d’être gascon ancré en Terre. Continuons la visite en échasses sur les traces du sabot chaussé…chassé. Bison futé nous conseille la Chapelle de Lugo, l’abbaye d’Arthous, sa côte de plages, la dame de Brassempouy et son XL’ente istoère . Moi je te propose l’Armagnac d’Ognoas, le foie gras, le pastis, la tourtière de mamie et la heste made in XL. Allons ou ça te plait mais n’oublions pas l’incontournable Ecomusée de Marquèze et le famoso festival Arte flamenco. Loin des morts vivants qui s’enterrent dans le métro. Allez j’arrête là mousquetaire, j’ai une affaire de scat à faire sur un swing trinaire.
8.
L’école de la vie ( Deyts Fabien ) À l’école de la vie, j’ai vu des assassins de conscience et de sens, tout est pris pour un produit et chaque idée a son inséparable ennemi. J’ai vu l’oxygène se dégrader et des nuages nucléaires heurtant à peine notre sensibilité. J’ai vu des gars chanter l’hymne patriotique parlant de gloire et déguisés en guerrier. Certains même attendent le 14 juillet pour atteindre l’artifice de leurs prunelles pendant que d’autres cherchent encore leur repas dans des poubelles. Opéra sauvage dirigé par les ailes du délire. Opération ravage sur les pauvres abonnés au pire. Crois-moi la petite souris ne passe pas sous tous les lits. Se refaire les seins ou donner à manger à quelqu’un qui a faim. Voici le nouveau destin des humains. Plongé dans la ville des enfoirés, je m’effraie devant le grand écart des inégalités. Dur devoir que d’accepter, je remonte à la surface, les yeux tournés vers de nus ages. Refrain Les sourires restent alors moi je reste La colombe reste alors moi je reste Les sourires des enfants, la beauté de la terre, de ses fleurs, de mes frères et mes sœurs réveilleront le monde alors moi je reste … J’avais cru entendre parler de terre promise, je vois un peuple soumis, du sang et des homicides. À chaque geste et chaque action, la bête humaine construit sa propre prison. S’instruire sur Tf1 ou regarder le cycle d’une fleur, c’est l’intelligence allant à l’encontre de la vie d’auteur. L’homme ne devient qu’un simple supporter de guerre de valeurs, de couleurs et de peurs. Regarde l’arrivée du monde électronique, tout le monde est au numérique pour toucher le 7ème ciel et finir 6 pieds sous terre, ça tactile la tactique de dépenser en penseurs insensés sans penser à l’appel de l’univers. Ça veut rouler sur l’Or or l’âme sous marbre ne peut éclore. À l’école de la vie, j’ai aussi vu les bords de mers dégouliner de kérosène et des oiseaux déguisés pour leur ultime soirée. Refrain J’ai vu des religions enfermer des gens, le seul mot admis tout haut étant « amen » ton enfant. J’ai vu des couples boxeurs, des faux sourires, des éducateurs en colère et une médecine qui assassine. R I P frères de la terre bleue en feu. Le massacre continue ici, on est tous responsables et tous cobayes à l’épreuve de l’école de la vie. Droit de-ci, droit de là, et doigt d’honneur par-derrière aux éditions hachettes ton bonheur. Penser ou dépenser, croire ou dé-croire, acheter sa liberté ou être juste libre, est ce que réfléchir c’est déjà désobéir? Ce qui ne peut danser au bord de mes lèvres s'en va hurler au fond de mon âme. Je cantise mes prières avançant d’un pas vers le phare, je n’y vois que des gyrophares scintillants pour faire taire mes idées. Je voudrais juste admirer les lampadaires du ciel, écouter le halo de la lune sans arrière-goût amer. Refrain Moi je reste, mais donnez- moi un vrai sourire. Je m’accorde un second souffle. Je reste comme une colombe heureuse au nid de l’infini paradis. La beauté orchestre ma forêt à base de vie et de printemps se levant chaque matin comme un soleil rayonnant … Lou Fabien se laisse sculpter par le temps des aigreurs, sous la douce forme d’un diamant. J’m’en vais cueillir des pensées immortelles et des colchiques dans le présent. Fleurs qui bercent des promesses éternelles …
9.
Manège 04:07
Manège ( Deyts Fabien ) Au manège, on s’allège de nos pensées en suivant le cortège, Certains n’y voient que la gloire, obnubilés par la quenelle de mickey. Un avoir, un piège pour renouveler un tour de con. Bienvenue petits poissons morpions dans ce beau bocal de coton. Douce atmosphère pour exciter les sourires à celui qui sait vivre. Imagine un « Jeannot » lapin à tes trousses aux côtés d’un djeun et beau éléphant, il clignote la cagnotte et s’envole pour mieux te voler, l’enfoiré. La roue de la fortune aurait-elle vrillée sur le stratège d’un franc mouton ? Vois aussi loin que la terre tourne autour du soleil qui nous donne des matins et des lendemains… Tournez jeunesse, tournez les pages, tournée générale … et tournée de vers. Après le printemps sera l’hiver. Tour de magie ou d’interrogation, tu rentres dans le cercle de la vie. Bêtise ou naïveté d’un projet à profit, faut que ça tourne coûte que coûte. Cette spirale t’assigne une monture, à toi de parfumer l’atmosphère pour que ce grand voyage tourne rond. Bercé par le rythme des saisons, écoute au plus profond de ton être le chemin de cette roue infernale… Tu pourrais t’assagir comme t’abrutir, tout dépend de l’œil que tu donneras au sens de la toupie. Enchanté ou déjanté par des carotteurs qui tentent de te rapprocher de leur cœur, ton manège à toi, c’est toi. Vois aussi loin que la terre tourne autour du soleil qui nous donne des matins et des lendemains… Tournez jeunesse, tournez les pages, tournée générale … et tournée de vers. Après le printemps sera l’hiver. Du pareil au cirque, il faut avoir le sourire, savoir tourner de l’œil cyclonique avant l’arrivée. Revoyant ces tournicotés à l’heure du manège de lune, tu t’endormiras yeux illuminés d’étoiles comme pour boucler la boucle…Dors. Change ta monture armure, c’est l’heure. Ma neige de flow blancs m’annonce trois points suspendus. L’horloge du ciel tournera sans jamais s’arrêter dans l‘étendue de l’univers où d’autres manèges dansent la valse de l’infinie rosace. Trois ptits points et puis m’en vais révéler de nouvelles saisons sur le trait d’union … Qu’il serait bon de sourire à l’unisson…
10.
Adishatz 04:18

credits

released April 12, 2014

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Lou Fabien & Cie Aquitaine, France

Lou Fabien & Cie, c’est cinq amis qui veulent voir les gens se donner la main, chanter, valser, festoyer, rêver, sur un air de fugue qui défend les valeurs de la terre et du folklore d’aqui et de la bas, Lou Fabien & Cie donnent la main au passé et à la modernité, créant le lien entre anciens et nouveaux nés… ... more

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